
Enorme surprise sur ce conte où l'on découvre que "La Belle au Bois Dormant" n'est en fait que la moitié du conte!
Passons la mauvaise fée qui n'était en fait qu'une vieille fée que tout le monde croyait morte et qui fût vexée de ne pas avoir le même cadeau somptueux que se « s½urs ». Passons le moment où la princesse se pique le doigt sur la machine d'une simple vieille femme qui n'avait pas eu connaissance de l'interdiction portée seize ans plus tôt sur la possession de machine à filer...
L'histoire indique que – lors du sommeil de la jeune princesse – une bonne fée vint à dos de dragons, avertie par un nain aux bottes de sept lieues, afin d'endormi tout le château, nourriture et feu compris, excepté le roi et la reine.
Là, nous commençons à différer du Walt Disney !
Car l'histoire est racontée rapidement et est en réalité bien plus longue que le Walt Disney. En effet, nous découvrons ce que fût la vie de la princesse après le mariage avec le prince. Son mariage secret donc, ses enfants cachés, sa belle-mère d'ogresse...eh oui !
Je ne rappelle plus quel titre porte le conte de l'ogre qui voulait nager ses 7 enfants et dont le cuisinier le dupait. Eh bin voici la deuxième partie du conte de la belle au bois dormant...au détail près que les 7 enfants sot en réalité sa bru et ses deux petits-enfants.
Par contre la fin est beaucoup trop rapide.
La belle-mère découvrant la supercherie veut tuer tout le monde mais se faisant arrêter par son fils, elle se tue. Point final.
Sacré découverte, je crois que c'est le conte qui à la fois se rapproche et s'éloigne le plus du Walt Disney.
Après lecture du conte de la Belle au Bois Dormant, version GRIMM, on découvre le Walt Disney même.
Bon toujours pas de dragon, toujours les ronces qui s'écartent d'elles-même devant le prince (bien sûr, Walt Disney oblige, ils ont supprimé le passage où de nombreux princes meurent douloureusement, emprisonnés par les épines).
Je trouve que, comme PERRAULT, les frères GRIMM ont une forte tendance à faire des fins extrêmement rapides. On a l'impression qu'il ne savent pas comment romancer les fins alors "Ils se marièrent et vécurent heureux". Fasse à l'aventure très détaillé, la fin paraît baclée. Et ce quel que soit le conte, PERRAULT ou GRIMM.
Passons la mauvaise fée qui n'était en fait qu'une vieille fée que tout le monde croyait morte et qui fût vexée de ne pas avoir le même cadeau somptueux que se « s½urs ». Passons le moment où la princesse se pique le doigt sur la machine d'une simple vieille femme qui n'avait pas eu connaissance de l'interdiction portée seize ans plus tôt sur la possession de machine à filer...
L'histoire indique que – lors du sommeil de la jeune princesse – une bonne fée vint à dos de dragons, avertie par un nain aux bottes de sept lieues, afin d'endormi tout le château, nourriture et feu compris, excepté le roi et la reine.
Là, nous commençons à différer du Walt Disney !
Car l'histoire est racontée rapidement et est en réalité bien plus longue que le Walt Disney. En effet, nous découvrons ce que fût la vie de la princesse après le mariage avec le prince. Son mariage secret donc, ses enfants cachés, sa belle-mère d'ogresse...eh oui !
Je ne rappelle plus quel titre porte le conte de l'ogre qui voulait nager ses 7 enfants et dont le cuisinier le dupait. Eh bin voici la deuxième partie du conte de la belle au bois dormant...au détail près que les 7 enfants sot en réalité sa bru et ses deux petits-enfants.
Par contre la fin est beaucoup trop rapide.
La belle-mère découvrant la supercherie veut tuer tout le monde mais se faisant arrêter par son fils, elle se tue. Point final.
Sacré découverte, je crois que c'est le conte qui à la fois se rapproche et s'éloigne le plus du Walt Disney.
Après lecture du conte de la Belle au Bois Dormant, version GRIMM, on découvre le Walt Disney même.
Bon toujours pas de dragon, toujours les ronces qui s'écartent d'elles-même devant le prince (bien sûr, Walt Disney oblige, ils ont supprimé le passage où de nombreux princes meurent douloureusement, emprisonnés par les épines).
Je trouve que, comme PERRAULT, les frères GRIMM ont une forte tendance à faire des fins extrêmement rapides. On a l'impression qu'il ne savent pas comment romancer les fins alors "Ils se marièrent et vécurent heureux". Fasse à l'aventure très détaillé, la fin paraît baclée. Et ce quel que soit le conte, PERRAULT ou GRIMM.